Les conséquences d’une séparation sur les conditions de logements sont sévères. Selon une étude de la Drees, petites surfaces et surpeuplement rivalisent avec un habitat parfois dégradé et les familles monoparentales se révèlent plus affectées que les familles recomposées. En 2013, selon l’Insee, seulement 38 % des ménages dont la « personne de référence » a entre 25 et 59 ans forment une famille dite « traditionnelle » (deux parents vivant en couple avec des enfants nés de leur union), comparé à 45 % en 2001. Les familles monoparentales représentent 12 % et les familles recomposées 10 %.
Les séparations dégradent les conditions de logement
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