Le Crédit Foncier et l’Université de Paris-Dauphine publient une étude sur l’attractivité résidentielle des 100 plus grandes agglomérations françaises dans le cadre de la chaire « Ville et immobilier » de l’établissement universitaire. L’objectif est de mesurer le degré d’attractivité scientifiquement et a posteriori, à partir du solde migratoire, associé à une série de 200 caractéristiques urbaines comme la localisation, les flux démographiques, la densité des commerces,… Le palmarès ainsi obtenu est tout aussi original que la méthodologie. Nantes, Rennes et Lyon sont les « perdantes » du fait de leur solde migratoire négatif, alors que Perpignan, Bayonne ou encore Toulouse, sont, elles, dans le groupe de tête des « gagnantes ».
Attractivité des villes : qui sont les gagnantes et les perdantes ?
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