Christine Boutin n’a pas varié d’un iota sa position : elle souhaite que la garantie des risques locatifs (GRL) devienne universelle. Si tel était le cas, elle s’appliquerait à d’autres locataires que ceux du parc privé conventionné et du 1 % logement. Pour atteindre cet objectif, l’Etat doit apporter un soutien financier d’environ 50 M€. « Le droit au logement s’impose. La loi doit le mettre en application », a justifié le ministre du logement avant d’ajouter : « la GRL institue une profonde rupture et devrait redonner plus de fluidité au logement ».
GRL : le ministre du logement monte au créneau
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