La non-annonce d’un nouveau ministre du Logement a causé un émoi prononcé chez tous
les professionnels immobiliers et une certaine inquiétude (ou une inquiétude certaine) chez
les associations aussi bien de propriétaires que de locataires. Cette matière première, ce
besoin primaire qu’est la nécessité de se loger (et si possible de bien se loger) est tout
simplement absent de la feuille de route du nouvel exécutif.
Qu’à cela ne tienne, le meilleur ministre du logement, c’est nous. Nous qui connaissons le
prix des choses, la vraie valeur de l’immobilier qu’on ne résume pas à un prix au mètre carré.
Nous qui voulons protéger notre famille en lui assurant un toit. Nous qui voulons conserver
le fruit de notre travail dans la pierre et le transmettre à nos enfants.
Transmettre, c’est là peut-être le défi premier des familles. L’acharnement fiscal ou les aléas
de vie sont tels qu’il devient difficile, parfois impossible, de léguer intégralement son
patrimoine immobilier et perpétuer ainsi la tradition et la mémoire de l’immeuble.
L’indivision constitue souvent une solution pour préserver les intérêts financiers des familles,
à condition de trouver une porte de sortie.
C’est ce que notre foncière propose en rachetant des immeubles entiers et des parts
indivises. www.indivision-patrimoine.fr
A l’heure où le pouvoir d’achat est attaqué de toutes parts, il faut pouvoir s’appuyer sur la
sagesse du bon père, bonne mère de famille et l’intelligence collective pour sortir de
situations inextricables plutôt que d’attendre de nouvelles lois venir asphyxier une économie
par des politiques qui eux ne manquent pas d’air !
Le logement est finalement une chose trop sérieuse pour être confiée aux seuls politiques.
La vache à lait est enfin heureuse de ne plus être gardée par un(e) cow-boy.
Christian Mahout
La vache à lait sans cow-boy !
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