A la suite du redressement judiciaire de la société mère de Terlat, promoteur de quatre projets financés par Anaxago et deux autres par WiSEED, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) est montée au créneau. « La plate-forme de financement participatif doit mener un audit permettant de s’assurer de la solidité du maître d’ouvrage, porteur de l’opération immobilière. La structuration classique de notre profession passe par une société opérationnelle (la maison mère) et une société filiale par opération. Ainsi, il existe une « muraille de Chine » entre chaque opération et un partage des moyens techniques au sein de la maison mère. Il est nécessaire d’auditer cette maison mère tant d’un point de vue financier que de sa capacité à construire », a prévenu la Fédération qui a rappelé que la plate-forme de crowdfunding était avant tout un intermédiaire, en mesure de dialoguer avec les différents acteurs d’une opération de promotion : assureurs, promoteurs, investisseurs, bureaux d’études… afin d’apporter une véritable valeur-ajoutée ».
Le crowdfunding, victime collatérale ?
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