C’était une des mesures phares du paquet fiscal. La déduction des intérêts d’emprunts s’est révélée être un échec. Pour Benoist Apparu, la faute est à imputer aux banques qui ne prennent pas en compte le crédit d’impôt dans le calcul de la solvabilité de leurs clients. « On dépense 3 Mds€ sans que les banquiers intègrent cet élément là », a-t-il martelé.
Ce système sera remplacé, dès le 1er janvier 2011, par un prêt à taux zéro (PTZ) amélioré, pris en compte, lui, par les banques.
Le gouvernement revient sur le « paquet fiscal »
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