Le gouvernement a annoncé la mise en place de sanctions à l’encontre des syndics qui ne jouent pas le jeu de la mise en concurrence. Des sanctions qui prendront la forme d’amendes d’amende de 3 000 à 15 000 €. La nouvelle série de mesures visant à stimuler la concurrence entre les syndics devrait également inclure l’encadrement de certains tarifs. La loi Alur du 24 mars 2014 avait déjà imposé aux syndics une mise en concurrence obligatoire et un contrat type, comprenant des prestations de base incluses dans un forfait. Des start-up à gogo dans l’immobilier L’immobilier, symbole de la rente ? Bien au contraire : 40 start-up de l’immobilier et de la construction ont été créées en 2018 dans l’Hexagone, rapporte le 2e baromètre Real Es-tech. Au total, on recense 420 start-up actives en 2018 dans la filière de la fabrique de la ville, dont 320 sur le segment de l’immobilier. Les start-up de l’immobilier ont levé 204 M€ en 2018, contre 177 M€ en 2017 (+15 %). L’association Real Estech a identifié 62 levées de fonds, d’un montant moyen de 3,2 M€. Avec 204 M€ levés en 2018, le montant cumulé investi dans les start-up de la Real Estech atteint 461 M€. A titre de comparaison, les start-up de la Food Tech ont levé 220 M€ en 2018 pour un total de 561 M€ depuis 2015.
Les syndics au piquet
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