‘+ 1 %. C’est, selon une étude de la Fnaim, la hausse moyenne du taux de vacance dans l’Hexagone entre 1999 et 2014 qui est donc passée de 6,9 à 7,9 % en l’espace de quinze ans. Une évolution qui représente un volume de 700 000 logements supplémentaires inoccupés. « Principalement touchés par ce phénomène d’augmentation de la vacance : les centres urbains des petites et moyennes agglomérations qui vont devoir prendre des mesures pour stopper cette hémorragie. », souligne la fédération. Derrière ce chiffre, les disparités sont en effet fortes entre les territoires. En 2014, la France comptait 2,7 millions de logements vacants.
Logements vacants : entre fantasme et réalité
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